Les 3 peurs les plus courantes chez les porteurs de projets atypiques (et comment les dépasser)

Se lancer dans un projet atypique, c’est souvent naviguer à contre-courant. Et cette audace, aussi belle soit-elle, réveille des peurs profondément ancrées.

Ces peurs sont normales, humaines, mais lorsqu’on ne les identifie pas, elles peuvent nous paralyser. Parlons-en.

💥 1. La peur de ne pas être légitime

« Qui suis-je pour me lancer dans ce projet ? »
Cette petite voix, on l’a presque tous entendue. Parce que notre parcours est différent, qu’on n’a pas "coché toutes les cases", on doute de notre valeur.

👉 Ce qu’il faut retenir : ce n’est pas le diplôme ou le CV qui fait la légitimité. C’est le vécu, l’expérience, la vision. Votre différence est votre force. Osez la revendiquer.

💥 2. La peur du regard des autres

Quand on sort des sentiers battus, les avis pleuvent : « Ce n’est pas sérieux », « Tu devrais chercher un vrai travail », « Ça ne marchera jamais ».

👉 Ce qu’il faut retenir : les peurs des autres ne doivent pas freiner vos élans. Entourez-vous de personnes qui comprennent vos choix, et créez un écosystème bienveillant autour de votre projet.

💥 3. La peur de l’échec

Et si je me plantais ?
Et si personne n’adhérait ?
Et si je perdais du temps, de l’argent, de l’énergie ?

👉 Ce qu’il faut retenir : l’échec n’est pas une fin, mais une étape. Il enseigne, il recadre, il fait grandir. Ce qui compte, c’est d’agir, d’apprendre, de réajuster. L’immobilisme, lui, ne mène nulle part.

🌱 Un dernier mot :
Être un porteur de projet atypique, ce n’est pas simple. Mais c’est précieux. Votre projet peut inspirer, ouvrir des voies, bousculer les codes. Alors plutôt que de vouloir faire disparaître vos peurs, faites-leur une place… mais ne les laissez pas conduire.

Vous êtes légitime.
Vous êtes capable.
Et surtout, vous n’êtes pas seul·e.